La singularité de « Vivaldi-Piazzolla, Saisons : d’un rivage à l’autre » est de faire exister en un même moment musical deux grands maîtres, deux styles, deux époques, deux continents, deux inspirations : l’une pastorale, l’autre urbaine.Le dialogue est étonnant, la rencontre est lumineuse, les deux écritures s’étreignent, s’imbriquent, se fondent, finissent par former un seul corps.