« Le premier goût que j’eus aux livres, il me vient du plaisir des fables des Métamorphoses d’OVIDE » a écrit MONTAIGNE. C'est ce "plaisir des fables" qui explique que ce poème n’a jamais cessé d’être lu dans le monde. Les récits qui le composent sont des histoires humaines, qui nous sont racontées au plus près de ce que vivent les êtres dans leurs corps. Ils sont un chant des corps qui changent.